De cette terre enfin mise à nue, S'évapore telle une âme perdue, Qu'un petit vent frais d'automne,
" Les entendre ou les dire, les lire ou les écrire, on peut tout faire même les taire … Les mots ! "
De cette terre enfin mise à nue, S'évapore telle une âme perdue, Qu'un petit vent frais d'automne,