Il aura suffit
Sur les terres brûlantes de l’enfer
J’ai humé le parfum doux et amer
De plantes aux plaisirs éphémères
Là, aux limites de l’impensable
Où il n’existe ni dieu ni morale…
Sur les terres brûlantes de l’enfer
J’ai humé le parfum doux et amer
De plantes aux plaisirs éphémères
Là, aux limites de l’impensable
Où il n’existe ni dieu ni morale…